Pensées et ravissements, Appel aux guerriers pacifiques - page 111 à 130

 

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Revenons à ce phénomène de cordes en vibrations, envoyant dans l'espace des ondes bien précises.

Ainsi, j’ai lu que les anges possèdent une onde précise et que leur fréquence ne nous permet pas de les voir, sentir, entendre, toucher… car nos sens ne sont pas en mesure de les décrypter.

Ils n’en sont pas moins réels !

Et je n’attends pas d’autres instruments, plus puissants encore pour y croire, mon ego n’ayant pas besoin d’écarter cette impuissance.

Ainsi si nous étions nés pucerons, pourrions-nous voir la montagne ?

Par ailleurs, le plus perfectionné des ordinateurs n’est que sauvagerie face à la finesse du chien qui a la capacité de percevoir l’approche de la mort…

 

J’essaie cependant de forcer ma vue, de percevoir plus haut. Ainsi, je tente de recouper les différentes sources car la somme des connaissances dépasse chacune d’elle comprise isolément.

J’avoue que parfois, de tels parallèles m’amènent plus loin que je n’aurai espéré…

Pour exemple de cette transversalité, Haziel nous dévoile, dans Votre ange gardien existe, bien des choses sur les anges et leur hiérarchie avec à leur tête l’Archange Mikael.

Et j’y recoupe la croyance par les témoins de Jéhovah que Jésus et l’Archange Mikael ne font qu’un.

Ainsi s’il est pur esprit ailleurs, son corps physique est bien redevenu poussière ici-bas !

 

D’autre part, pour accréditer la continuité de l’esprit, j’ai retrouvé la trace de Juda en l’ange gardien Anauel car il fut le trésorier des apôtres ici-bas et qu’en son nouveau statut, il conserve sa relation à l’argent, étant l’ange gardien qui peut accorder à ses protégés la réussite dans le commerce et les affaires.

De plus, il était le messager entre Jésus et l'autorité religieuse juive.

Anauel étant aussi décrit comme le messager des dieux, il est, selon moi, également le Mercure connu des grecs. Cela me fut confirmé lorsque je lus quelques lignes plus loin qu’il était un ange mercurien !

Tous ces recoupements m’ont amené à penser que si nous changeons de « peau », nous conservons nos caractéristiques personnelles, aussi significatives et uniques que nos empreintes, signant ainsi notre propre fréquence vibratoire.

 

Tout est question de parallèles, de ponts que l’on peut établir entre différents domaines. Nous avons oublié que nous avons la capacité de les franchir et que nous l’avons surement déjà fait auparavant.

En réalité, nous avons la faculté d'être des passeurs.

Peut-être avons nous déjà aussi traversé tous les ponts de la Création avant de devenir des êtres humains et que nous pouvons retourner à des états inférieurs si nous n’honorons pas ce cadeau.

Comme il est aussi vrai que l’on retourne sur Terre pour réparer nos erreurs.

 

Alors, j’imagine les choses ainsi : quand un choix doit être fait avant son retour sur Terre, soit le macchabée refuse de trancher et retourne dans un corps inférieur, par exemple un cafard, soit il accepte, descend, oublie-tout et n’aura d’autre choix que d’accomplir son nouveau Livre de Vie en tentant de se parfaire.

Si la tâche est accomplie, beaucoup lui sera pardonné et cette âme retrouvée sera parmi les plus reconnaissantes.

S’il ne réussit pas malgré sa volonté, moteur de son retour, alors il sera présenté à nouveau devant les mêmes obstacles à franchir lors de la vie suivante. Nous n’avons d’autre choix que de réussir pour mettre un terme à ce cycle.

 

Celui qui aura fait le plus de mal sera celui qui aura la tâche de faire le plus de bien à son retour pour compenser, équilibrer la balance.

D’ailleurs, Jésus nous éclaire à ce sujet quand il dit que les plus éloignés de l’amour en seront les plus proches, une fois leurs yeux dessillés.

 

Ainsi, j’ai lu, je ne sais plus où, qu’Hitler redescendra sur Terre sous les traits d’un grand réformateur pour la justice, le bien, le bon, le vrai. Puis j’ai lu ailleurs que Paulo Coelho, à la visite d’un camp de concentration en Allemagne avait reçu Le choc de sa vie.

Il était écrit dans son livre de Vie que ce choc le mènerait à la révélation de Jésus-Christ alors qu’il s’en était éloigné auparavant lorsqu’il lui avait été imposé.

Alors, vu sous cet angle, je n’ai pu m’empêcher un recoupement audacieux : Paulo Coelho, lumière au firmament, ami qui nous invite à entrer en nous au fur et à mesure que nous entrons en ses livres, aurait très bien pu être, dans sa précédente vie, aussi sombre que ce dictateur au combien tristement célèbre !

 

Platon dit « tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien », au combien ce grand philosophe nous renvoie aux limites de notre esprit face à l’Infini.

Mais, d’un autre côté, après être passé par tant de réincarnations, n’avons nous pas engrangé en nous un nombre incalculables de connaissances qui ne sont que simplement emprisonnées dans les oubliettes de notre inconscient ?

Ainsi, nous avons surement oublié que des liens inextricables se sont crées entre chaque niveau, chaque étape de la Création telle la sève de la plante qui relie les racines aux feuilles.

Et tel le bulbe qui dirige toute son énergie de la terre à sa promesse de vie, nous devons nous diriger du bas vers le haut, de la matière à l’esprit, du plus au moins dense pour développer cette divinité promise car elle sommeille en nous telle la future plante.

 

Toutefois, n’oublions jamais que la matière est un support indispensable pour nous mouvoir ici-bas, puisque le corps est le temple de l’esprit. Ne dédaignons pas les quatre éléments régissant ce monde dès lors que l’éther nous appelle.

Il faut bien une base solide sur laquelle se poser entre deux décollages, car comme l’avion qui a besoin de la piste, sinon il s’écrase faute de carburant, nous avons aussi besoin de prendre des forces ici-bas tant que nous appartenons encore à ce monde.

De même, le plus spirituel d’entre nous appartient encore à ce monde, même dans le plus grand des renoncements. Ramâkrishna l’explique en sa 306ème pensée : « L’homme ne peut renoncer totalement à ce monde, même s’il le désire. Il en est empêché par son karma ».

 

Petit aparté, revenons sur cette image du bulbe, voulez-vous ?

Comme je l’ai déjà écrit précédemment, ses cercles concentriques sont une métaphore des différents niveaux, de l’infiniment petit au grand infini.

Il en va de même de nos origines géographiques : nous habitons tel village, tel département, tel pays, telle planète, telle galaxie, tel univers…

En sociologie également, nous retrouvons cette construction concentrique : nous-mêmes, la famille, les amis, les collègues, les voisins…

 

Mais le bulbe n’a pas fini de nous délivrer ses messages…

L’assimilation constante d’énergie qu’effectue cette réserve pour la future plante, qu’elle soit fleur ou fruit, est le plus beau message d’amour qui puisse exister : cette partie de la plante se sacrifie en se donnant entièrement et dans l’anonymat le plus complet puisqu’elle est cachée sous terre.

 

Écoutons cette leçon de la Nature. Sondons notre intérieur, explorons notre réserve énergétique. Explosons d’amour vers la vie de la façon la plus discrète qui soit.

Que cette fleur s’ouvre sur notre prochain, l’enivrant de mille éclats par sa simplicité et son authenticité sans jamais lui faire ombrage.

Car, puisque le chemin pour y accéder est d’abord personnel, nous ne pouvons entrer de force de telles conceptions et perceptions dans l’esprit d’autrui.

 

 

 

 

C’est pourquoi nous devons rester discrets et surtout ne pas nous faire l’ hautain donneur de leçon qui risquerait de faire dévier encore plus le frère de sa voie…

La seule aide que nous puissions lui apporter est de le rediriger vers ses propres actions et de le renvoyer à ses propres idées après les avoir écoutées, tout en n’étant jamais que dans la proposition, le conseil et non l’ordre et le jugement.

La discrétion du bulbe est le parfait exemple de la conduite à tenir.

La 22ème pensée de Lao Tseu nous le rappelle : « De là vient que le saint homme conserve l’Unité (le Tao), et il est le modèle du monde. Il ne se met pas en lumière, c’est pourquoi il brille. Il ne s’approuve point, c’est pourquoi il jette de l’éclat. Il ne se vante point, c’est pourquoi il a du mérite. Il ne se glorifie point, c’est pourquoi il est supérieur aux autres ».

Comme les fleurs du pommier, de la courgette, de la fraise, de la citrouille et de la tomate produisent le fruit, nous, petits hommes, prendrons chair en assimilant notre propre réserve d’énergie divine.

 

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Mais Dame Nature apporte bien d’autres questionnements comme autant de messages à décrypter.

Ainsi l’on se demande toujours : « de l’œuf ou de la poule ? », comme on pourrait se demander : « de la plante ou de la graine ? ».

Par quoi tout a commencé ?

Puisqu’il nous faut un commencement pour tenter d’approcher des éléments de réponse à cette question, remontons jusqu’à notre matrice première : l’eau.

Lorsqu’elle était transportée sur des météorites, l’eau était gelée à des milliers de degrés en dessous de zéro.

Son attente fut si longue avant de trouver un environnement propice qu’elle dépasse nos faibles capacités de représentation.

Ainsi ce voyage intergalactique peut-il être qualifié d’éternel. Car certains météorites, gorgés d’eau et de vie figées, errent ainsi aussi loin que remonte le Big-bang pour notre univers et encore plus loin pour d’autres dans cet espace infini, immense vide intersidéral…

J’en déduis que le non-être est supérieur à l’être en sa longévité et son espace occupé.

« Entrer dans le non-être, c’est la vie, en sortir, c’est la mort. Pourquoi apporter tant d’importance à tout cela ? », dit le Tarot.

Et quand je songe que l’être se rapproche du non-être à chaque seconde de vie écoulée, ça m’en donne le tournis !

 

Il arrivait enfin que des météorites rencontrent des planètes, ce qui arriva à un moment donné avec la Terre. Notre actuelle planète bleue était alors une boule de métaux en fusion.

Et c’est justement cette rencontre de l’eau et des métaux qui provoqua une réaction chimique en chaîne. De nouvelles combinaisons issues de l’alchimie des éléments formèrent le dioxyde de fer et l’oxygène.

L’un, se déposant dans les profondeurs de la matrice couche après couche, millénaires après millénaires et devenant la chair de notre planète puis les plaques tectoniques et les continents.

L’autre, créant cet air respirable qui nous permis de sortir de l’eau et de peupler la Terre.

 

Mais plongeons à nouveau dans la matrice. Nous savons que l’origine de la vie se situe en son sein immense et qu’il repose sur la combinaison de trois petits éléments : deux molécules d’hydrogène et une molécule d’oxygène.

Et neuf dixième de notre corps dépend aussi de cette combinaison triangulaire puisque nous sommes composés à 90 % d’eau. …

 

Ce chiffre trois est, pour moi, révélateur.

J’y vois la Sainte Trinité : connue sous le nom du Père, du Fils (en réalité la conscience christique abordable en chacun de nous et non pas un seul être) et du Saint Esprit mais qu’on appelle aussi sous d’autres cieux : triangle d’amour Dieu-toi-moi, Tao (parfait point d’équilibre entre les forces yin et les forces yang), Trinité hindoue : Brahmâ le Créateur, Vishnou le Conservateur et Shiva le Destructeur-Rénovateur, Sat, Tat et Aum. Ne serait-ce pas la poule de la fameuse question ?

Et s’il y a eu changement d’état, du non-être à l’être, cela implique nécessairement une cause.

Ce déclencheur ne peut qu’être extérieur à ces trois si petits éléments atomiques selon quoi la vie serait apparue bien plus tôt !

Ne verrait-on pas là encore l’ombre de notre poule ancestrale ?

 

Les scientifiques, quant à eux, expliquent l’apparition de la vie par les conditions devenues adaptées à la progression de cet être unicellulaire et à l’explosion de la vie sur terre.

Alors notre œuf primordial trouvant les conditions nécessaires à son développement obéit certainement à la même probabilité que l’eau trouvant un terrain approprié lors de son voyage inter-galactique : le pur hasard.

Or, les scientifiques ne cessent de vouloir le calculer pour tenter de le contrôler.

D’ailleurs, cet inconnu a toujours une part prévue dans les plans humains, qu’ils soient économiques ou politiques c’est la fameuse place laissée au hasard.

 

Mais n’oubliez pas messieurs qu’il peut frapper au cœur de la nuit, vous surprendre sans que vous n’ayez le temps de lui faire face.

Et nous mêmes, aussi impétueux que nous sommes, provenons d’une succession sans fin d’heureux hasard.

D’où l’importance de ne pas vouloir tout contrôler car l’homme, aussi remarquable soit-il, ne saurait tout prévoir.

Laissons le vent des incertitudes nous pousser. La sagesse des formules et des dictons populaires nous le rappelle également.

Ainsi ne dit-on pas à quelqu’un de stressé « laisse faire les choses ».

Et cet autre dicton : « ce qu’ art ne peux, hasard achève ».

Alors, si les scientifiques l’appellent hasard et que les spirituels et les religieux y décèlent le souffle divin, ce sont des noms différents donnés à cette fameuse poule !

Mais puisque c’est d’un être unicellulaire qu’à jaillit la vie, pourquoi ne dirions-nous pas plutôt : de l’œuf ?

Alors, à la question « de l’œuf ou de la poule ? », je réponds : de l’œuf et de la poule.

Et là encore, Lao Tseu vient nous éclairer quand il dit : « L’antériorité et la postériorité sont la conséquence l’une de l’autre ».

 

D’autre part, il est admis que notre milieu favorable n’est qu’une exception dans ce grand vide sidéral. Mais justement, puisqu’il s’agit d’un espace infini, cette exception peut prendre des proportions gigantesques !

Alors probable que l’eau et la vie existent en quantité astronomique dans cet espace illimité, non pas sous forme végétative mais aussi active.

Ainsi, par la seule logique mathématique, nous ne sommes certainement pas les seuls êtres vivants des univers à avoir connu un environnement approprié à notre développement.

La sagesse hindoue ancestrale enfermée dans les Védas est révélatrice à ce sujet : depuis la nuit des temps, nous recevons la visite de nos amis du ciel.

Ces textes, écrits en sanskrit, regorgent de détails concernant des engins spatiaux d’un autre type.

De même, l’éclairage de maints passages de la Bible par la Kabbale, ouvrage ésotérique judaïque, nous offre une nouvelle interprétation en ce sens.

Mais ce sujet est étudié avec tant de ferveur par Erich Von Däniken que je vous conseille de lire son ouvrage, Vers un retour aux étoiles.

Si une rencontre avec des entités encore inconnues du vaste public devient un jour possible, nous découvrirons très certainement des êtres bien plus intelligents et plus disciplinés que nous.

« Facile quand on pense que l’homme est le seul être de la Création assez idiot pour s’ auto-détruire », me répondrait un ami fidèle.

Mais peut-être que ces entités extra-terrestres créeront des liens avec des êtres choisis sur des critères de longévité (amour, âme vertueuse et volontaire…), portant justement en eux cette intelligence ancestrale qui préserve de l’idiotie des hommes.

Du respect mutuel pourra naître une nouvelle ère dorée, dédiée à notre point commun, l’étincelle de vie, nous ralliant autour de ce phare malgré que nos embarcations soient différentes.

 

Hélas, cela ne relève que du rêve pour l’instant. J’entends déjà la plupart d’entre vous appeler cela de la science-fiction.

Mais si ce n’est encore qu’une belle utopie, c’est que les hommes ont encore tant de changements à opérer en eux, tant de travail à accomplir avant de se faire de nouveaux amis.

Je n’espère même pas voir une telle union s’accomplir de mon vivant tant nous nous sommes écartés de cette voie de sagesse et de vertus orientée vers l’ Infini.

J’espère simplement que mes contemporains se mettent enfin à ouvrir les yeux. Il faut oser tendre vers cet infini. En fait, c’est même la conduite type à tenir si nous voulons progresser.

Tout en ayant à l’esprit que nous ne pourrons jamais atteindre cette infinie perfection ici-bas, elle ne doit jamais cesser d’être la lumière qui nous guide, la flamme dans la nuit de notre ignorance.

 

Il est grand temps de suivre les multiples enseignements de la Vie, ses joies et ses peines, et de les appliquer, selon la grande loi de la theoria praxis.

Les cours que nous donne Dame Nature ne sont qu’une propédeutique, c’est-à-dire l’introduction à un enseignement encore plus complet, à la fois spirituel, écologique, fraternel et divin.

L’homme a encore tant à apprendre !

 

Ainsi, que ce soit l’union du farfadet (esprit de la terre), de l’ondine (esprit de l’eau), de la salamandre (esprit du feu) et de l’elfe (esprit de l’air) selon mes ancêtres celtes, que ce soit le panthéon des grecs ou des romains, que ce soit les divinités hindoues ou tribales du monde entier, tous sont des noms différents donnés à notre Mère Divine !

Et elle ne fait qu’aspirer à la Paix et à la Stabilité, à l’ Equilibre des forces, à l’ Harmonie, à l' Unité…

Nymphe florale, née de l'union d'une ondine et d'un farfadet.

Il est de l’intérêt de tous d’en prendre conscience, d’y participer et d’éduquer nos enfants en ce sens. Cela fait partie du combat du guerrier pacifique.

 

De plus, sachons rester humbles en admirant les multiples œuvres d’arts éphémères de Dame Nature. N’oublions pas que l’araignée passe sa vie à voir détruites ses cathédrales de soie et à les reconstruire, inlassablement.

Et la forme des nuages est un hommage à la grandeur du Très-Haut, magnifique mais si fugace. J’aime imaginer que là-haut, les anges font des concours pour dessiner ces si majestueux levers et couchers de soleil !

En dessinant ces chefs-d’œuvre, ils font preuve d’une humilité sans bornes.

 

Les moines tibétains ont compris et appliqué cette philosophie depuis longtemps en soulignant que rien ne reste figé, que seul le mouvement est constant, que tout le reste ne l’est pas. Il ne faut donc s’attacher à aucune de ces étapes transitoires au risque de stagner. Et pour le roi Salomon, tout est vanité…

 

Hélas, les êtres humains menant le Bon Combat ne verront une réelle amélioration du genre humain qu’après que les signes soient survenus. Ceux-là même écrit dans la Bible, dans l’Apocalypse de Saint Jean : « On se lèvera nation contre nation et royaume contre royaume. Il y aura des secousses par endroits, il y aura des famines. Cela, c’est le commencement des douleurs ».

 

Mais heureusement, le Coran apporte une note plus positive et maintient ma confiance intacte car on peut y lire : « Nous leur montrerons nos signes dans l’Univers et en eux-mêmes, jusqu’à ce qu’il leur devienne évident que c’est cela la Vérité ».

Imaginons alors un volcan destructeur, dont la cendre recouvre tout. Après que le temps eut fait son œuvre, la terre fertilisée enfantera ses plus beaux fruits et ses plus belles fleurs. Car la Vérité dont parle le Coran est Amour !

 

Nous devons donc résister aux travers de l’ Humanité et prier pour que l’affliction soit écourtée et les créatures terrestres, aquatiques et aériennes sauvées de la folie des hommes.

Parallèlement à la montée en puissance des désastres, qu’ils soient écologiques, sociaux ou financiers, se lèveront de plus en plus d’hommes en marche vers la Lumière.

 

Enfin, pour les hindous, Vishnou est une des trois personnes de la Trinité qui s’incarne sur terre à chaque fois que le monde est en danger.

Cela étant plus que jamais le cas aujourd’hui, appelons-le de tout notre cœur à se manifester.

Et comme le dit la dernière phrase du Pèlerin de Compostelle : « les personnes apparaissent toujours quand elles sont attendues. »

 

 

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